Les voyageurs du crime

Attention : en soirées spectacles à 20h !
Comédie policière

Les voyageurs du crime

durée 1h35


1er FEVRIER 2024 - 20H

Théâtre Jacques Bodoin - Tournon

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14-24€
Une comédie de Julien LEFEBVRE
Mise en scène Jean Laurent SILVI
Avec Stéphanie BASSIBEY, Marjorie DUBUS, Céline DUHAMEL, Pierre-Arnaud JUIN, Ludovic LAROCHE, Etienne LAUNAY, Jérôme PAQUATTE, Nicolas SAINT-GEORGES
Décors Margaux VAN DEN PLAS
Costumes Axel BOURSIER
Musiques Hervé DEVOLDER
Se situant quinze ans après les évènements du Cercle de Whitechapel et en reprenant la plupart des personnages, Les Voyageurs du crime vous proposent une enquête haletante dans l’univers raffiné du plus célèbre train du Monde, l’Orient Express !

Les voyageurs du crime
La pièce

Au début du XXème siècle, un train de grand standing, l’Express d’Orient (qui prendra le nom d’Orient Express quelques années plus tard) parvient à quitter la Turquie alors déchirée par une guerre civile.
A son bord, le personnel s’affaire pour satisfaire les exigences des passagers hauts en couleur qui ont pu échapper au chaos comme Madame Mead, une stricte préceptrice anglaise, Miss Cartmoor, surnommée « la Sarah Bernhardt de Buffalo », monsieur Souline, un maître d’échecs ou encore le célèbre Bram Stoker, le créateur de Dracula.
Mais voilà qu’au passage de la frontière, une jeune fille de bonne famille hurle à qui veut l’entendre que sa mère qui dormait tranquillement dans son compartiment a disparu. Qu’à cela ne tienne, deux éminents voyageurs qui viennent de monter à bord (le dramaturge Bernard Shaw et Arthur Conan Doyle, le père de Sherlock Holmes) se mettent en quête de la vérité.
La tâche s’annonce difficile et ces d’enquêteurs d’un soir vont aller de surprises en surprises durant une nuit de mystères, de meurtres et d’Aventure ! En voiture pour le crime !


Jacques Stotzem

Le mot de l'auteur

Le théâtre est le lieu idéal pour présenter une enquête policière. Univers de faux-semblants, de maquillages et de mensonges multiples (acceptés comme des conventions par les spectateurs), la scène est depuis son origine une formidable « scène de crime ».

C’est donc avec le plus grand naturel que l’envie de me replonger dans les arcanes d’une intrigue policière m’est venue après la création du « Cercle de Whitechapel ». L’envie aussi de retrouver une galerie de personnages avec qui j’avais passé tellement de temps dans les brumeuses nuits londoniennes.

Et c’est justement la première chose qui m’est venu en tête lorsque je me suis lancé dans le projet de donner une suite aux aventures de Conan-Doyle, Bernard Shaw et Bram Stoker : l’atmosphère de cette nouvelle pièce devait rivaliser dans l’imaginaire collectif avec la puissance d’évocation des soirées de Whitechapel. Mais où trouver une pareille ambiance ?

C’est d’une autre sorte de brume que la réponse a surgi : celle de la vapeur d’une locomotive, la Pacific 231 conduite par mon arrière-grand-père sur une vielle photo de famille. Le train, bien sûr ! Le train ! Cet hôtel filant à travers les paysages et les frontières, ce lieu clos accessible à tous les inconnus qui ont achetés un billet, cet endroit dans lequel des gens qui ne se sont jamais rencontrés acceptent de partager quelques heures d’intimité.

Tant qu’à choisir, prenons bien sûr le plus fabuleux d’entre tous : l’Express d’Orient (qui ne deviendra officiellement Orient-Express que quelques années plus tard). Ce trait d’union merveilleux qui a fait entrer le XXème siècle dans l’ère du voyage moderne et qui a mis les contrées lointaines à quelques dizaines d’heures des capitales européennes. La promesse d’une aventure enfin domptée et offerte aux plus offrants avec la garantie du calme, du luxe et de la bienséance. En bref, le cadre le plus formidable pour un crime !

Et comme le crime n’est intéressant que s’il nous permet d’interroger le monde dans lequel il a eu lieu, alors autant choisir pour notre enquête un monde qui ressemble au nôtre. Disons un monde confortable dans lequel, nous dit-on, tout est sous contrôle, où les désagréments du monde ne peuvent pas entrer sans billet. Un monde de bonne compagnie en somme, sûr de lui et inconscient des dangers, qui sera incarné par des personnages contrastés et bouillonnants.

Ajoutons un crime et jouons. Jouons, avec la volonté farouche du plaisir, de la liberté créative et avec l’ambition de rendre le public complice ! Voilà d’où viennent « Les voyageurs du Crime »…

Julien Lefebvre

Embarquez avec Conan Doyle dans l’ambiance Agatha Christie ! Après « Le cercle de Whitechapel », l’auteur Julien Lefebvre récidive avec bonheur. Le plaisir du jeu se mêle à celui de l’enquête. Bravo !
Le Parisien
On fonce ! Pistes, fausses pistes, rebondissements, l’aventure agathachristesque est menée à vive allure. Sur scène, ils sont tous impeccables. Attention, le spectacle se joue le plus souvent à guichets fermés. Pas question de rater le train !
Le Canard enchaîné
La comédie policière au théâtre, il faut oser. Julien Lefebvre réitère l’exploit avec succès. Un thriller digne d’Agatha Christie orchestré magistralement et servi par une troupe complice. Entre deux arrêts de train, le mystère grandit jusqu’à atteindre son apogée. Cerise sur le gâteau, le public rit beaucoup et ne voit pas les deux heures passer !
Le Figaro

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