Un grand cri d'amour
Attention : en soirées spectacles à 20h !
Comédie
Un grand cri d'amour
durée 1h40
16 NOVEMBRE 2023 - 20H
Théâtre Jacques Bodoin - Tournon
RESERVEZ
14-24€
De Josiane Balasko.
Avec Romy Chenelat, Bertrand Ducrocq, Jean-Christophe Acquaviva et Gregory Gardon.
Avec Romy Chenelat, Bertrand Ducrocq, Jean-Christophe Acquaviva et Gregory Gardon.

Synopsis
Alors qu’une pièce de théâtre risque de tomber à l’eau suite à l’absence imprévue de l’actrice principale, un producteur un peu véreux va mettre au point une série de combines plus tordues les unes que les autres pour assurer la promotion de sa pièce sur un coup médiatique...
Ses stratagèmes vont mettre face à face deux comédiens qui se détestent cordialement... et un metteur en scène qui va vivre les pires répétitions de sa vie !
Le rythme est mené tambour battant, les dialogues percutants et on ne cesse de rire face à cette succession de coups bas !
Ses stratagèmes vont mettre face à face deux comédiens qui se détestent cordialement... et un metteur en scène qui va vivre les pires répétitions de sa vie !
Le rythme est mené tambour battant, les dialogues percutants et on ne cesse de rire face à cette succession de coups bas !

Note d'intention
Fort d’une amitié de plus de 20 ans et après de nombreuses pièces interprétés ensemble, c’était une évidence pour nous de reprendre Un grand cri d’amour 10 ans après l’avoir monté lors de la création de Complexe prod.
Cette comédie que nous avions joué plus de 250 fois entre 2012 et 2014 et qui avait provoquée des torrents de rires, nous nous devions de la reprendre un jour.
Quand le Complexe nous a proposé de refonder ce quatuor qui a fait la renommée du lieu, et qui si j’ose dire, a plus aujourd’hui l’âge des personnages de Balasko qu’il y a 10 ans, nous avons tout de suite dit oui.
Romy est une formidable GIGI, Gregory est un agent savoureux, Bertrand est parfait dans le rôle du vieil acteur mondain et que dire de Jean Christophe qui incarne de façon magistrale le metteur en scène tyrannisé par ces deux monstres de la scène.
Un grand Cri d’Amour c’est une pièce écrite par l’un des auteurs les plus talentueux de notre époque, Josiane Balasko. (Le père Noël est une ordure, Les Bronzés, Gazon Maudit .... )
C’est une histoire d’amour et de haine entre un homme et une femme mais plus savoureusement entre un acteur et une actrice, ce qui épice un peu la chose....
Cette comédie nous parle de la bassesse des plans de carrières, du cynisme du calcul des producteurs, mais aussi du processus de création et de la force de sentiments.
C’est une joie de la jouer et de vous la proposer.
Cette comédie que nous avions joué plus de 250 fois entre 2012 et 2014 et qui avait provoquée des torrents de rires, nous nous devions de la reprendre un jour.
Quand le Complexe nous a proposé de refonder ce quatuor qui a fait la renommée du lieu, et qui si j’ose dire, a plus aujourd’hui l’âge des personnages de Balasko qu’il y a 10 ans, nous avons tout de suite dit oui.
Romy est une formidable GIGI, Gregory est un agent savoureux, Bertrand est parfait dans le rôle du vieil acteur mondain et que dire de Jean Christophe qui incarne de façon magistrale le metteur en scène tyrannisé par ces deux monstres de la scène.
Un grand Cri d’Amour c’est une pièce écrite par l’un des auteurs les plus talentueux de notre époque, Josiane Balasko. (Le père Noël est une ordure, Les Bronzés, Gazon Maudit .... )
C’est une histoire d’amour et de haine entre un homme et une femme mais plus savoureusement entre un acteur et une actrice, ce qui épice un peu la chose....
Cette comédie nous parle de la bassesse des plans de carrières, du cynisme du calcul des producteurs, mais aussi du processus de création et de la force de sentiments.
C’est une joie de la jouer et de vous la proposer.
« La troupe du Complexe supporte la comparaison avec l’équipe du Splendid. La pièce est jubilatoire… »
Vivant mag
« Absolument hilarant !... »
Le Dauphiné
« Le rythme est soutenu, les dialogues sont percutants, on ne s’ennuie pas une seconde avec ce quatuor de choc, un moment de théâtre à ne rater sous aucun prétexte… »
Le Progrès
« Les comédiens ont mené les spectateurs vers un délire complet… »
Publik Art